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ADBS Provence-Alpes

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12 avril 2006

Déménagement

Ce blog s'arrête...

Mais nous continuons nos activités sur le site expérimental suivant :
http://adbs.provence.alpes.free.fr

Ce site est l'un des éléments du système d'information de l'ADBS Provence Alpes, dans la perspective de la refonte du site web régional (http://www.adbs.org/massilianet).

Le futur site officiel de la délégation Provence Alpes de l'ADBS est à l'adresse suivante :
http://www.adbs.fr/regions/region.php?id_rubrique=14

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1 février 2005

Petit-déjeuner : "Veille Brevet"

Le prochain petit-déjeuner du Club Local d'Intelligence Economique, piloté par Marseille Innovation, aura lieu le 3 mars 2005 à 8h30 à l'Hôtel Technologique.

Intervenants : MathéoSoftware et INPI

Site web : Club local d'Intelligence Economique

Contact :
Catherine Delasorne
04.91.11.88.78
club.local-ie@marseille-innov.org

1 février 2005

De la documentation à l'intelligence économique

L'objectif de ce texte est de resituer le concept d'intelligence économique par rapport à d'autres notions parfois proches telles que celles de veille documentaire, de veille spécialisée, de veille stratégique ou encore de benchmarking.

NetEconomie.fr
http://www.neteconomie.fr/les_dossiers/dossierGES.php3?id=539
21.IX.00

L'objectif de ce texte est de resituer le concept d'intelligence économique par rapport à d'autres notions parfois proches telles que celles de veille documentaire, de veille spécialisée, de veille stratégique ou encore de benchmarking. Tel que le précise le rapport Henri Martre "la notion d'intelligence économique implique le dépassement des actions partielles désignées par les vocables de documentation, de veille (scientifique et technologique, concurrentielle, financière, juridique et réglementaire?), de protection du patrimoine concurrentiel, d'influence (stratégies d'influence des Etats-nation, rôle des cabinets de consultants étrangers, opérations d'information et de désinformation)." (in, Rapport du CGP "Intelligence économique et stratégie des entreprises", La Documentation française, Paris, 1994, p 17).

Plusieurs éléments discriminatoires permettent en effet de juger ce qui tantôt relève de l'intelligence économique et qui tantôt tient plus de la veille ou de la documentation. Pour autant, l'idée développée ici ne vise pas à opposer ces différentes notions. L'intelligence économique y est au contraire défendue comme étant un concept globalisant, intégrant l'ensemble de ces différentes approches à la fois. Autrement dit, faire par exemple de la veille technologique contribue à faire de l'intelligence économique mais ne suffit pas à faire de l'intelligence économique...

9 janvier 2005

Utilisation d'un weblog pour un dossier documentaire

Weblog "DossierDoc. Utilisation des blogues pour des dossiers documentaires ?"
Sylvie ATD-Dalbin
http://dossierdoc.typepad.com/dossierdoc/
[créé le 29.XI.04]

"Ce blogue constitue un essai d'utilisation d'un blogue. Nous avons fait le choix du thème des blogues. Encore un, nous direz-vous !

Nous souhaitons orienter ce dossier sur les usages des blogues dans le monde de l'infodoc (information & documentation).

Pour les professionnels de l'infodoc, il serait également important de réfléchir sur leur usage par rapport à d'autres outils de diffusion d'une offre documentaire : forums, systèmes de gestion de contenu (CGM), systèmes de gestion documentaires et plus largement un site web.

Ce blogue se veut à caractère collaboratif, vous êtes donc invités à y participer. Il se construira au fur et à mesure des apports des uns et des autres. En fonction de son usage, nous pourrons prendre une formule permettant d'y travailler à plusieurs auteurs."

Une initiative comme je les aime !

9 janvier 2005

Appréhender le Knowledge Management

Questions-clés, définitions, liens utiles, acteurs, chiffres et citations : l'essentiel de ce qu'il faut savoir en un coup d'oeil.

JDN Solutions
http://solutions.journaldunet.com/dossiers/pratique/knowledge_management.shtml
07.VII.04

5 questions-clés :

  • Knowledge Management, travail collaboratif, gestion de contenu : quels liens, quels différences ?
  • Quels sont les outils informatiques qui facilitent le KM ?
  • Quelles méthodes suivre pour mettre en place le KM dans l'entreprise ?
  • Peux-t-on mesurer précisément le retour sur investissement de projets KM, qui comportent par définition une grande part d'intangible ?
  • Quel est le profil du knowledge manager ?

Article intéressant malgré une conclusion un peu surréaliste que les documentalistes apprécieront ("In cauda venenum", comme on dit vulgairement... ;-) :

"De tout ce qui précède se forme peu à peu la figure du "responsable de la gestion des connaissances" ou de knowledge manager : une figure qui lie une certaine connaissance des solutions informatiques, une bonne compréhension (et donc une bonne connaissance) de l'entreprise en général et de ses modes de fonctionnement relativement au savoir en particulier, et des capacités d'animation et de pilotage qui le distingue nettement du documentaliste."

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9 janvier 2005

Le Knowledge Management, entre effet mode et (ré)invention de la roue...

Quelques réflexions critiques pour mieux comprendre la nécessité et les caractéristiques d'une gestion collective et pérenne des connaissances dans l'entreprise.
 
Jean MICHEL
Documentaliste - Sciences de l'Information, 2001, vol.38, n°3-4, pp. 176-186
 

Le Knowledge Management ou KM est défini comme "un système d'initiatives, méthodes et outils destinés à créer un flux optimal de connaissances pour le succès de l'entreprise et de ses clients" (Eunika Mercier-Laurent). Cette définition très large, englobante, a le mérite de faire ressortir la nécessité d'un certaine médiation professionnelle et la finalité de l'intervention KM : assurer le succès de l'entreprise par une bonne dynamisation des connaissances dont elle dispose. Mais pour autant est-on clair sur ce que représente concrètement la gestion des connaissances ?...

9 janvier 2005

Variations documentalistiques

Un texte vraiment réjouissant d'un de nos anciens "patrons"... à conseiller à tous les docs qui se prennent (parfois) trop au sérieux...

Jean Michel
http://www.enpc.fr/~michel-j/publi/JM312.html
04.X.98

Depuis des décennies et surtout dans les dernières années, les professionnels de l'information-documentation (ou professionnels de l'ID, ou de l'idée...) s'efforcent de trouver pour leur profession un intitulé générique qui les positionnerait de façon claire par rapport aux évolutions de leurs fonctions, de leur métier et de leur environnement. Au Maroc, le documentaliste est devenu informatiste ; dans l'audiovisuel, il se spécialise comme recherchiste, et ailleurs comme veilleur (ce qui pourrait laisser à penser que d'autres seraient plutôt des sommeilleurs !...) ; et à la télévision, on parle de documentariste.

Cette quête du Graal sémantique mérite bien une réflexion ouverte, publique, collective. Mais plutôt que de se prendre trop au sérieux et de chercher sa voie (ou sa voix) dans le rationnel, pourquoi ne pas jouer avec les mots (et avec nos maux) ?

L'animation récente de plusieurs séminaires sur la créativité en documentation, comme aussi l'écoute fréquente des disques de Boby Lapointe ou le plaisir pris devant les sketches de Raymond Devos, me conduisent à formuler quelques " variations " terminologiques (ou plutôt " terminillogiques ") autour de notre cher document et de tout ce qui tourne autour de lui : documentaliste, documentaire, documentation.

Recommandations préalables : professionnels (trop) sérieux s'abstenir ! Pour les autres : à consommer et prolonger sans modération...

7 janvier 2005

Annuaires pour la veille documentaire

Trois annuaires pour les veilleurs

Il est relativement aisé d'identifier sur le Net des signets concernant spécifiquement le domaine de la veille.

Béatrice Foenix-Riou
Bases n°188
http://www.bases-publications.com/revues/bases/e-docs/00/00/00/DD/document_article.phtml
XI.02

Un moteur comme Teoma (www.teoma.com) classe ainsi à part, dans sa liste de résultats, les très précieux "Resources : Link collections from experts and enthusiasts" ; une astuce permet par ailleurs d'identifier des pages de liens sur un moteur, en formulant une requête – sur Google par exemple – comme "competitive intelligence" inurl:links OR inurl:bookmark... afin d'identifier les pages qui contiennent l'expression "competitive intelligence" ET le mot liens ou bookmark dans l'URL.

Mais il existe relativement peu de sites dédiés à ce thème. Trois entreprises ont donc décidé de remédier à cette lacune, en offrant des guides – ou des rubriques sur leur site – sur la veille, ou pour les veilleurs…

 

6 janvier 2005

Rendez-vous : Club Local d'Intelligence Economique

Le prochain petit-déjeuner du Club Local d'Intelligence Economique aura lieu le 27 janvier 2005 à 8h30 à l'Hôtel Technologique.

Thème : L'outil collaboratif pour gérer et partager l'information

Intervenant : M. Gonzalo Higueras, MayeticVillage - Gecom

Inscription : Formulaire

Web :
Club Local d'Intelligence Economique

Marseille Innovation - Catherine Delasorne - Tél.: 04.91.11.88.78 - club.local-ie@marseille-innov.org

6 janvier 2005

Expérience : 10 trucs pour un KM pratique

extraits de :
Jean-Michel Monin
Archimag n°177
http://www.archimag.com/articles/177/177knowledge_dossier3.html
IX.04


Les bonnes pratiques peuvent se regrouper autour de quatre grands principes.

* Fédérer les réseaux autour d'un projet commun

On ne partage pas ses connaissances avec n'importe qui. Et on ne partage pas pour le plaisir de partager. La réussite d'un projet de KM suppose, d'une part, la définition d'une communauté de partage cohérente et, d'autre part, une vision claire du projet et des bénéfices poursuivis.


* S'appuyer sur les communautés existantes

Le partage suppose une confiance et des intérêts communs entre les acteurs concernés : le KM ne fonctionne qu'à l'échelle de communautés.

Pour mettre en route une démarche de KM, une bonne pratique consiste à dynamiser et outiller les communautés existantes avant d'essayer d'en créer de nouvelles. Des premiers succès plus faciles et plus rapides donneront l'impulsion à de nouvelles initiatives, élargissant ainsi progressivement la démarche. Quatre points clés à retenir :

- identifier les réseaux "métier" ou thématiques d'ores et déjà constitués au sein de l'entreprise;

- prioriser les communautés liées à des enjeux clefs pour l'entreprise. Sans enjeu, aucune mobilisation ne sera possible durablement;

- repérer les besoins immédiats de la communauté : référentiel technique, partage de pratiques entre sites, accès aux experts en cas de problème, veille collective, etc.;

- identifier et mobiliser les acteurs clés pour constituer le "noyau dur" de la communauté;

- outiller la communauté pour lui permettre de fonctionner plus efficacement.


* Rédiger une charte de communauté

Pour chaque communauté, une charte de communauté permet d'énoncer clairement les principes de partage :

- qui fait partie du réseau ?
- quels sont les rôles ?
- les engagements à respecter ?
- les objectifs poursuivis ?
- les ressources partagées ?

Cette pratique permet tout d'abord de fédérer les collaborateurs concernés autour d'une vision commune de leur projet. Elle permet également de définir un point de repère pour "tenir le cap" dans la durée, mais également pour le renégocier régulièrement. De même, l'existence d'un projet clairement défini facilite l'implication de nouveaux acteurs.


* Construire par "prototype"

Bien que l'on partage des connaissances depuis toujours, les pratiques de KM sont nouvelles : les problématiques changent (innovation, papy-boom, globalisation…) et les innovations technologiques et méthodologiques rendent désormais possibles des pratiques sophistiquées de partage à grande échelle. Dans ce contexte de nouveauté, il est très difficile de définir avec précision ses besoins pour des pratiques que l'on n'a pas encore expérimentées.

En matière d'outil, l'approche classique "cahier des charges/ développement/réception" est aujourd'hui caduque. Il faut dès lors privilégier une approche par "prototypage", consistant à construire progressivement un dispositif adapté en associant les utilisateurs tout au long des phases de conception, de paramétrage et d'amélioration.

Plusieurs avantages :

- en s'appuyant sur des progiciels plutôt que sur des développements spécifiques, on gagne en rapidité, en évolutivité et on limite les risques techniques;

- en associant les utilisateurs depuis la conception jusqu'à la mise au point, on leur permet de révéler et surtout de valider leurs besoins en se plaçant "en situation";

- conçu et rodé avec les utilisateurs eux-mêmes, le système de KM sera plus pertinent et légitime à leurs yeux;

- les besoins évoluant dans le temps et avec les pratiques, de nouvelles adaptations seront nécessaires régulièrement (tous les 8 à 14 mois d'après l'expérience des projets Knowings). Seule une approche par prototypage permettra tout à la fois de suivre ce rythme et d'assurer un bon niveau de finition.
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